LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT
AMÉLIORER LE CLIMAT RELATIONNEL
PRÉVENIR LES CONFLITS
Dans les écoles ou dans les organismes extrascolaires, les élèves utilisent la moquerie comme un moyen de se montrer complices, de s’amuser, d’être appréciés par leurs pairs,
d’exprimer leurs tensions, de dominer aussi. Mais la moquerie ambiante, même si elle est valorisée socialement, peut être source de blessures, de conflits entre ados, voire de violence.
Face à l’incontournable humour dont les jeunes font preuve entre eux, certains moqués réagissent en s’écrasant, se laissant rabaisser, voire humilier. Parmi ces jeunes, nombreux
sont ceux qui se sentent impuissants à répondre, ne trouvant pas LA réplique qui fait mouche et ne parvenant pas à mettre leurs limites pour que cela s’arrête.
D’autres ont tendance à contre-attaquer en écrasant le moqueur, n’imaginant pas d’alternative aux joutes verbales. Même s’ils semblent plus confiants, ces jeunes sont en stress permanent, se laissant mettre « hors d’eux » et atteindre par la moquerie, et y répondant systématiquement en mode guerrier.
Les témoins de moqueries (bystanders) sont quant à eux partagés entre ces 2 extrêmes qui ont comme point commun d'envenimer la situation : se taire pour ne pas faire l’objet de représailles humoristiques, ou contre-attaquer pour défendre la victime impuissante face à la blague qui fait rire le groupe.
Tout comme les moqueurs et les moqués, les témoins sont spect-acteurs de cet humour qui fait mal.
Comment aider les jeunes à comprendre pour quelles raisons ils se moquent et (se) laissent moquer ?
Comment leur permettre de conscientiser quel humour est acceptable pour eux et quelles moqueries ou critiques les blessent réellement ?
Comment les entraîner à adopter une posture corporelle puissante, cool, ancrée et protégée des railleries ?
Comment leur faire expérimenter différentes manières de répondre du tac au tac, sans écraser ni s’écraser ?
L'objectif pour l'institution est d'améliorer le climat relationnel, de prévenir les conflits et de faire face au harcèlement verbal, qui est la forme la plus courante et la plus banalisée de harcèlement. Les techniques de protection et de répartie sont à la fois utilisables à l'école, mais aussi en famille, dans les activités extrascolaires, sur les réseaux sociaux ...
1) Comment fonctionnent moqueur, moqué et témoin ?
2) Quelle posture physique adopter pour prévenir les moqueries et s’en protéger ?
3) Que répondre à la moquerie ou la critique ?
Qui ? 6 à 16 membres du personnel volontaires, tous niveaux hiérarchiques confondus.
Quand ? En semaine de 9h à 16h, en une journée (sensibilisation) ou 2 journées consécutives ou espacées de 2 à 6 semaines.
Comment ?
Le Centre Sweetch pratique le Learning by doing : notre pédagogie interactive est concrète, ludique, simple et cohésive. Elle se base sur l’échange et l'expérimentation à partir de cas vécus, à l’aide d’outils directement utilisables sur le terrain :
Le Centre Sweetch est pluraliste et à la pointe en matière de gestion des conflits et des émotions. Les techniques et explications théoriques sont éprouvées par les spécialistes en gestion des tensions. Elles sont inspirées de multiples écoles en Psychologie et en Communication : Communication NonViolente, Neurosciences, Analyse Transactionnelle, Programmation NeuroLinguistique, Psychologie du Développement, Systémique, Méthodes Gordon, Assertivité, Yoga …
Aucun prérequis n'est nécessaire.
Où ? Au sein de l'école ou de l'organisation. Les formations sur demande peuvent être ORGANISÉES DANS L'ESPACE FORMATION DU CENTRE SWEETCH, avec possibilité de CATERING.
Combien ? 800€/jour + 0,40€/km entre le domicile du formateur et le lieu de formation : pas de TVA à ajouter en école, TVA de 21% à ajouter dans le non-marchand. Matériel pédagogique compris.
CLIQUEZ CI-CONTRE et RECEVEZ le subside de formation en tant qu'employeur ou travailleur salarié du non-marchand, issu de la Commission paritaire CP329.02 ou 329.03 (indices ONSS 362 et 762).
Le Centre Sweetch est reconnu comme organisme de formation officiel pour l'IFEN, l'Institut de Formation de l’Éducation Nationale au Luxembourg.
J'ai vraiment apprécié l'alternance entre la théorie et les exercices pratiques. Réfléchir aux jeux de pouvoir, aux moqueries qui choquent, à la prise de conscience de nos réactions souvent liées au stress... permet d'y voir plus clair. S'exercer à avoir une posture adéquate et expérimenter différents types de réparties avec le groupe amène à mieux se connaitre et à renforcer nos compétences. Pas toujours simple de réagir à chaud mais avec un peu d'entrainement, je pense que nous pouvons tous nous affirmer davantage face à la moquerie ! Merci pour ces apprentissages enrichissants !
Dans le cadre de notre atelier théâtre ce mardi, nous avons fait l'exercice sur la répartie où les jeunes devaient s'écrire dans le dos. Ça a super bien fonctionné et le fait de le faire par
écrit et non verbalement, ça a permis à des jeunes trop anxieux d'y participer. Nous avons réalisé ensuite un groupe de parole qui a bien fonctionné aussi.
Voilà, c'était une première petite approche faisant suite à la formation mais on s'est dit qu'on n'inclurait plus la répartie dans l'atelier théâtre mais qu'on en ferait un atelier à part entière
tellement la thématique est importante et la richesse de tous les outils (grâce à vous 🙂).